Augmentation mammaire

L’objectif de l’augmentation mammaire est de redonner du volume au sein. Elle peut également permettre de remonter le sein en cas de ptôse.

Augmentation mammaire

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Augmentation mammaire à Bordeaux

L’augmentation mammaire est une des interventions les plus fréquentes et les plus fiables en chirurgie plastique, mais qui nécessite toutefois un réel savoir-faire et une certaine expertise. Elle peut se faire par :

  • Prothèses mammaires.
  • Injection de graisse (lipofilling).
  • Une combinaison des 2.

Au delà du caractère esthétique de l’opération, une reconstruction mammaire avec augmentation par prothèses ou lipofilling peut parfois être nécessaire ou voulue suite à un cancer du sein, ou encore dans le cas d’une malformation des seins tubéreux.


Durée d’intervention
de 1h à 2h
Anesthésie
générale
Gêne sociale
de 3 à 10 jours
Fourchette de prix
de 3100 à 6800 €
Fiche info implants CG5
Augmentation mammaire à Bordeaux

L’augmentation mammaire est une des interventions les plus fréquentes et les plus fiables en chirurgie plastique, mais qui nécessite toutefois un réel savoir-faire et une certaine expertise. Elle peut se faire par :

  • Prothèses mammaires.
  • Injection de graisse (lipofilling).
  • Une combinaison des 2.

Au delà du caractère esthétique de l’opération, une reconstruction mammaire avec augmentation par prothèses ou lipofilling peut parfois être nécessaire ou voulue suite à un cancer du sein, ou encore dans le cas d’une malformation des seins tubéreux.


Durée d’intervention
de 1h à 2h
Anesthésie
générale
Gêne sociale
de 3 à 10 jours
Fourchette de prix
de 3100 à 6800 €
Fiche info implants CG5

Pourquoi avoir recours à une augmentation mammaire ?

Les critères de beauté ont énormément changé durant le siècle dernier avec la libération de la femme. Les seins restent un symbole de féminité, de fécondité et de libération sexuelle.

L’hypotrophie mammaire, soit l’insuffisance ou carrément l’absence de poitrine, est souvent mal vécue, notamment à notre époque où les femmes pulpeuses sont à la mode. Les hypotrophies mammaires, qui se caractérisent donc le plus souvent par des seins trop petits par rapport à la morphologie du corps, ont des conséquences psychologiques les femmes : pour certaines d’entre elles, cela porte atteinte à leur féminité.

Les critères de beauté esthétiques ne sont pas les mêmes d’une culture à l’autre et nous en tenons compte. Nous privilégions des résultats naturels, en harmonie avec votre anatomie mammaire et votre silhouette. C’est ce que l’on appelle l’augmentation mammaire biométrique.

Pour ce faire, nous travaillons avec un appareil de simulation de dernière génération 3D (vectra 3D, canfield USA), actuellement la référence mondiale.

Il existe plusieurs facteurs expliquant l’hypotrophie mammaire :

  • Constitutionnel.
  • L’âge : avec le temps, la poitrine devient plus plate et perd de son volume.
  • La génétique (certains syndromes malformatifs comme le syndrome de Poland).
  • Les variations hormonales (par exemple lors de la ménopause ou après la grossesse).

L’hypoplasie peut être modérée et s’accompagner d’une ptôse ou peut être majeure (aplasie mammaire) et gêner l’allaitement. Cette dernière est accessible à une prise en charge par la sécurité sociale.


Augmentation mammaire par prothèses

La prothèse mammaire modifie la taille, la forme et le galbe du sein pour lui redonner sa rondeur et obtenir des résultats très naturels.

Différents types d’implants mammaires

Il existe différentes formes de prothèses mammaires : ronde ou anatomique et différentes projections déterminant le côté bombé du sein. Le choix de l’implant mammaire est capital : il se détermine lors de la consultation en fonction de l’anatomie, de la morphologie et du souhait de la patiente.

L’implant mammaire est le plus souvent pré-rempli de gel de silicone, mais il peut arriver qu’il le soit quelquefois aussi avec du sérum physiologique. Il est mis en place en arrière de la glande mammaire, séparée de cette dernière par l’épaisseur du muscle grand pectoral (technique rétro-pectorale).

L’implant peut être aussi glissé derrière la glande et en avant du muscle. Dans les deux cas, une loge a été aménagée pour recevoir la prothèse : elle est constituée différemment selon qu’il s’agit d’une prothèse ronde ou d’une prothèse dite “anatomique” (ou en “goutte d’eau”), indiquée lorsque la glande mammaire est pratiquement inexistante et afin d’obtenir un résultat naturel.

Dans ce dernier cas, la loge est faite sur mesure pour la prothèse afin d’éviter sa rotation sur place qui engendrerait un résultat esthétique disgracieux et une asymétrie. Un dual plan est généralement utilisé, ce qui motive la voie sous-mammaire. Un drainage aspiratif est rarement mis en place avant fermeture cutanée, et l’intervention se termine par la confection d’un pansement compressif en “cœur croisé”.

A la Clinique George V, nous pratiquons la “minimal invasive procedure”, permettant des cicatrices de 2,5 à 3cm, et travaillons principalement avec le laboratoire Motiva. Les prothèses fiables, au gel très souple, donnent un aspect très naturel en statique comme en dynamique. Elles ne se sentent pas sous la peau.

Différents positionnements pour les implants

La prothèse peut être placée devant ou derrière le muscle grand pectoral :

  • Si la patiente est sportive, ou possède un peu de volume, on privilégiera une position pré-pectorale (en avant du muscle).
  • Si la patiente est menue, fine, on choisira une position rétro-pectorale pour obtenir un résultat plus naturel.
  • La technique “dual plane” permet de combiner les 2 techniques en gardant leurs avantages et en supprimant leurs inconvénients.

Il est également maintenant possible de placer l’implant en position physiologique pré-pectorale et d’y associer un lipofilling en partie supérieure pour un résultat très naturel.

Différentes voies pour introduire les implants

Parfois, la patiente aura le choix de la “voie d’abord” et du type de prothèse, mais dans d’autres cas, il n’y aura pas de choix possible si l’on veut obtenir un joli résultat naturel. C’est le concept de l’augmentation mammaire biométrique.

Afin d’”insérer” l’implant mammaire dans le sein, différentes voies peuvent être utilisées : chaque chirurgien à ses préférences, mais la physiologie de la patiente et ses envies comptent aussi dans le choix de la voie à privilégier.

Les voies d’abord les plus utilisées à la Clinique George V de Bordeaux sont les voies d’abord axillaire et sous-mammaire. Il y a un regain de popularité pour la voie sous-mammaire ces dernières années, notamment en raison de l’arrivée des prothèses anatomiques.

Différentes cicatrices selon la voie d’abord

L’emplacement des cicatrices résulte également de la voie qui sera choisie pour l’opération. Dans tous les cas de figure, les cicatrices sont discrètes et peuvent se situer sous l’aisselle (cicatrice axillaire), sous le sein (cicatrice sous-mammaire) ou autour de l’aréole (cicatrice péri-aréolaire).


Augmentation mammaire par lipofilling

Le tissu mammaire est constitué de glandes mammaires et de graisse. L’augmentation des seins par lipofilling consiste à prélever de la graisse par lipoaspiration puis à la réinjecter dans les seins après l’avoir centrifugée et filtrée. La graisse réinjectée se comporte alors comme une greffe de tissu graisseux et restera ensuite en place à vie. Pour augmenter la prise de greffe, il est important que les tissus soient bien vascularisés et le tabagisme est donc proscrit.

Les conditions pour avoir recours au lipofilling

Cette intervention de concept séduisant n’est possible que dans certaines conditions :

  • Patiente âgée de moins de 35 ans.
  • Aucun antécédent personnel ni familial de cancer du sein.
  • Imagerie préopératoire strictement normale (mammographie, échographie et IRM).
  • Morphotype adapté : en effet, pour augmenter les 2 seins d’une taille de bonnet, il est nécessaire de réinjecter au moins 300 cc de graisse par sein. Il faudra donc prélever au moins un litre de graisse (pour obtenir 600 cc de graisse purifiée). Pour cette raison, l’augmentation mammaire par lipostructure n’est possible que lorsque la patiente présente suffisamment de zones donneuses de graisse.

En revanche, en cas de prothèses pré-pectorales, un lipofilling du décolleté pour cacher le pôle supérieur de la prothèse ne nécessite en général pas plus de 150 cc de graisse à réinjecter et peut donc être réalisé même chez une patiente mince.

Les cicatrices suite à un lipofilling

Les incisions pour la lipoaspiration sont très discrètes. La graisse recueillie est filtrée, purifiée et centrifugée. La réinjection se fait à l’aide de canules fines ne laissant pas ou peu de cicatrices.

A savoir : la graisse réinjectée est une greffe vivante, elle est donc sensible aux variations de poids. Il sera donc essentiel de maintenir ensuite un poids le plus stable possible.


Les étapes d’une augmentation mammaire réussie

Avant l’intervention

  • 2 consultations sont nécessaires pour définir le projet et choisir la prothèse la mieux adaptée.
  • Une simulation par technique 3D pourra être effectuée afin d’obtenir un aperçu du rendu postopératoire et aider au choix de la prothèse.
  • Une mammographie ou une échographie seront systématiquement réalisées (et un IRM supplémentaire en cas de lipofilling).

Le déroulement de l’augmentation mammaire

  • L’intervention se déroule sous anesthésie générale et dure environ entre une et deux heures.
  • Elle peut se réaliser en ambulatoire ou nécessiter une nuit d’hospitalisation selon les cas.

Après l’opération

  • Un soutien-gorge de contention sera à porter jour et nuit pendant 1 à 3 mois. Cette période de contention est importante pour l’aspect esthétique final.
  • Un œdème (gonflement) important surviendra sur la poitrine, mais également sur les zones lipoaspirées s’il y a eu un lipofilling. Il disparaitra dans les 2 mois suivant l’intervention.
  • Les activités sportives pourront progressivement être reprises à partir d’un mois postopératoire, mais attendre 3 mois minimum pour les sports les plus vigoureux.
  • Des séances de lumière infrarouge pourront être réalisées pour accélérer et favoriser la discrétion de la cicatrice.
  • Le résultat définitif ne s’évaluera qu’au bout de 6 mois.
  • En ce qui concerne les incidents et les complications liés aux prothèses mammaires, la survenue d’hématome ou d’infection est rare. L’apparition de coque périprothétique fait partie d’un phénomène peu contrôlable par le patient et le chirurgien. Le patient doit absolument arrêter de fumer, cela en diminue la survenue.

Nous utilisons un introducteur de prothèses mammaires, le Keller Funnel, qui permet d’introduire les prothèses sans forcer, ce qui évite leur déformation. Cela évite aussi de toucher la peau et de pratiquer une « no touch procédure ». En effet, il a été démontré en 2012 qu’un des facteurs de survenue de coque est la contamination per opératoire de la prothèse. C’est la théorie du Biofilm. Enfin, cela évite les brûlures de peau liées à l’introduction des prothèses (frottement), la cicatrice s’en trouve améliorée.


Avant
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163 Boulevard George V, 33000 Bordeaux

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